Les auberges de jeunesse mises à disposition des plus démunis sur tout le territoire

Acteur majeur du Tourisme Social, la Fédération Unie des Auberges de Jeunesse (FUAJ) est, plus que jamais, aux côtés des plus démunis en cette période très difficile. Ce second confinement impose, de nouveau, la fermeture des auberges de jeunesse depuis le 29 octobre. C’est à ce moment-là que les collaborations, déjà actives, avec les Villes et les Préfectures se sont intensifiées pour permettre la mise à disposition de nos établissements. Du fait des nouvelles normes sanitaires, le nombre de places dans les lieux traditionnellement utilisés a été fortement réduit. C’est donc tout naturellement que la solidarité s’organise avec la FUAJ. La solidarité est une valeur que nous portons depuis toujours et qui est au coeur de nos préoccupations. 

La solidarité s’organise 

Avec ses 45 auberges de jeunesse sur tout le territoire, la FUAJ apparaît comme l’interlocuteur privilégié des collectivités locales ou territoriales dans le domaine du tourisme social. Porteuse de valeurs fortes comme le partage, la lutte contre toutes formes de discrimination, l’engagement, notre association se doit de répondre positivement à la demande d’entraide en cette période difficile du second confinement. 

Ainsi, les Villes, les Préfectures ou toute autre collectivité peuvent compter sur la disponibilité des espaces dont nous sommes gestionnaires. Cette collaboration permet de ne pas laisser les lieux vacants. 

Plus de 500 places sur tout le territoire 

A ce jour, 10 auberges de jeunesse HI France de la Fédération Unie des Auberges de Jeunesse sont des lieux ouverts aux plus démunis. Ceci représente plus de 500 places d’hébergement. Que ce soit à Boulogne-sur-Mer, Lyon, Paris le d’Artagnan, entre autres, les personnes vulnérables du fait de la crise sanitaire, de l’hiver ou suite à un sinistre, peuvent trouver refuge dans les auberges de jeunesse. Les acteurs sur place -associations, bénévoles, personnel- font un travail extraordinaire pour leur venir en aide tout en profitant d’un lieu sécurisé. 

Nous le savons, la crise touche plus durement les précaires aussi bien dans leur santé physique que psychologique. Et aujourd’hui, nous sommes, donc, très heureux de participer à cet élan de solidarité et d’assumer dans notre secteur du Tourisme Social, plus la part de Social que de Tourisme en cette période difficile pour tous.

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